La science fiction nous offre des mondes - notre monde futuriste aussi - où le pouvoir tente de lisser l'univers. Il le réglemente pour le rendre "beau", sûr, pour qu'il devienne le terrain du bonheur de l'humanité.
Flash sur une vie nocturne exacerbée et irréaliste que j’ai eu la chance de goûter, avec toujours plus d’entrain, sans jamais y étancher ma soif – Shanghai, 2018
Comprendre n'est pas excuser. Mais c'est déjà comprendre.
Je voudrai partager, et ce ne sera sûrement ni la première ni la dernière fois, les réflexions d'Egdar Morin: sociologue français éminent, s'attelant à penser la complexité du réel, le monde comme un énorme système complexe que l'on ne peut impunément disséquer.
Je ne sais pas si nous sommes tous un peu comme ça mais pour ne pas vous inclure dans une généralité qui ne vous correspondrait pas, je vais parler de mon cas. J'ai beaucoup de mal avec ma vie au travail, avec le fait de devoir y consacrer trop de temps. Une petite révolte gronde en moi et elle me dit: ce n'est pas comme ça que je veux vivre. En tout cas ce n'est pas ce que j'appelle vivre. Peut être parce que je suis jeune, que je viens de commencer ma "vie active", que ce que je fais ne me plaît pas, ne me donne pas l'impression de me réaliser.